Mardi 9 avril 2013.- La nouvelle souche de grippe aviaire détectée en Chine "a déjà acquis des mutations qui pourraient la rendre plus susceptible de provoquer une pandémie humaine", ont averti mercredi des scientifiques qui évaluent son évolution.
Ceci est confirmé par des spécialistes après avoir analysé les données de séquençage génétique de cette souche mortelle d'oiseaux et appelée H7N9. À ce jour, ce virus a coûté la vie à trois personnes et en maintient six autres sous traitement, dont deux sont dans un état critique.
Cependant, les experts soulignent qu'il n'y a toujours "aucune preuve" que cette nouvelle souche se propage d'une personne à l'autre. En outre, ils soulignent qu '"il est possible qu'elle disparaisse et qu'elle ne se transforme pas complètement en une forme humaine de grippe".
De l'avis de l'un des spécialistes du Centre médical Erasmus des Pays-Bas, le Dr Ab Osterhaus, les résultats obtenus impliquent que les autorités doivent "se mettre en alerte" et impliquer une plus grande vigilance chez les animaux et les humains. Pour lui, la situation "est préoccupante".
Dans le même sens, l'Organisation mondiale de la santé est montrée, qui insiste sur la préoccupation dominante et prévient que la détection de ces cas est prise "au sérieux". Pour le membre de l'Imperial College de Londres (Royaume-Uni), le Dr Wendy Barclay, aucune conclusion ne garantit que l'influence du virus "sera faible".
D'un autre côté, les scientifiques qui étudient ces cas confirment qu'ils ne savent toujours pas quelle est la source animale du virus H7N9. Trouver la source et continuer à surveiller les mutations génétiques "sont désormais les priorités", explique Osterhaus.
Compte tenu de toute cette séquence d'événements, le gouvernement chinois a augmenté son niveau d'alerte et a assuré qu'il était "transparent" dans les informations qu'il proposait sur cette pandémie, après qu'en 2003 les autorités ont tenté de couvrir une épidémie de syndrome respiratoire "aigu aigu" qui a tué en Chine un dixième des 8 000 personnes infectées dans le monde.
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Ceci est confirmé par des spécialistes après avoir analysé les données de séquençage génétique de cette souche mortelle d'oiseaux et appelée H7N9. À ce jour, ce virus a coûté la vie à trois personnes et en maintient six autres sous traitement, dont deux sont dans un état critique.
Cependant, les experts soulignent qu'il n'y a toujours "aucune preuve" que cette nouvelle souche se propage d'une personne à l'autre. En outre, ils soulignent qu '"il est possible qu'elle disparaisse et qu'elle ne se transforme pas complètement en une forme humaine de grippe".
LA SITUATION "CONCERNE"
De l'avis de l'un des spécialistes du Centre médical Erasmus des Pays-Bas, le Dr Ab Osterhaus, les résultats obtenus impliquent que les autorités doivent "se mettre en alerte" et impliquer une plus grande vigilance chez les animaux et les humains. Pour lui, la situation "est préoccupante".
Dans le même sens, l'Organisation mondiale de la santé est montrée, qui insiste sur la préoccupation dominante et prévient que la détection de ces cas est prise "au sérieux". Pour le membre de l'Imperial College de Londres (Royaume-Uni), le Dr Wendy Barclay, aucune conclusion ne garantit que l'influence du virus "sera faible".
D'un autre côté, les scientifiques qui étudient ces cas confirment qu'ils ne savent toujours pas quelle est la source animale du virus H7N9. Trouver la source et continuer à surveiller les mutations génétiques "sont désormais les priorités", explique Osterhaus.
Compte tenu de toute cette séquence d'événements, le gouvernement chinois a augmenté son niveau d'alerte et a assuré qu'il était "transparent" dans les informations qu'il proposait sur cette pandémie, après qu'en 2003 les autorités ont tenté de couvrir une épidémie de syndrome respiratoire "aigu aigu" qui a tué en Chine un dixième des 8 000 personnes infectées dans le monde.
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